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le produit de base, la feuille de tabac
il faut retirer la nervure centrale;
puis les feuilles sont roulées ensemble, assez serré;
le cigare est terminé, il ne reste plus qu'à nouer une des extrémités, celle qui va en bouche et couper ce qui dépasse;
il ne reste plus qu'à déguster;
n'étant pas fumeur, j'ai goûté bien entendu mais je ne peux pas vous donner mon sentiment; je n'ai pas été malade, pas de maux de tête, la preuve que la qualité était excellente;
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les champs de tabac
un séchoir à feuilles
il faut plusieurs mois pour que les feuilles atteignent le degré d'humidité nécessaire pour la fabrication des cigares en fonction de la qualité requise;
90% de la production est propriété de l'Etat cubain, les feuilles étant envoyées dans les fabriques; les 10% restant sont le gagne pain du producteur qui peut ainsi fabriquer des cigares et les vendre ensuite pour son compte personnel aux touristes ou aux cubains;
pour les tabacs de très bonne qualité, le taux est inférieur, avoisinant les 2% mais avec un prix de vente supérieur.
des controôles périodique avec comptage des feuille sont réalisés périodiquement par des agents mandatés pour limiter les détournements;
les feuilles sont comptées une à une.
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cette méduse bleue est aussi appelée jellyfish ou concombre portugais; on les trouve quand l'eau est chaude, comme chez nous;
les longs filaments sont très urticants et il faut faire attention quand on se baigne surles plages non gardées;
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